en tenue de soubrette
Les cheveux resplendissant à la lumière du soleil
Assise au coin d'un des cafés du centre ville de Quiétude
remuant sa cuillière tout en dégustant le thé qui venait de lui servir
Ouvre son petit calpin, valisette remplit de bonbons aux milles senteurs
et de sa voie fluette.
"Hier encore, je prenais le thé en charmante compagnie
Lorsqu'a ma grande surprise je vis un mosieur vétu de blanc
Est apparut par la fenêtre comme par enchantement assit sur un banc
Regardant avec angoisse les aiguilles tournoyant à la folie.
Lorsque nos regards se sont croisés
J'ai reconnue a son air quelque chose qui m'étais familié.
Sans me poser de questions j'ai claqué tout ce que j'avais batti
A Bauhaus non loins de ce hameau bien posé
Et courru à sa rencontre.
Lorsque le malautru c'est effacé
Et que je suis tombée.
A mon réveil je me suis retrouvée dans un train
Au terminus de ce beau petit patelin
Est ce un signe? ma maison que je cherche tant est elle ici même.
Avec tous les gens que j'aime?
Je ne sais pas je ne me souviens de rien.
Où suis je encore attérit?
On me dit Requiem.. est ce une province de Bohème?
Ce qui est sûre ces qu'il y a petits et des grands sales et propres
qui parlent, toujours et encore
sans perdre une moindre miette de leur gâteau au beurre d'or.
Un conte des merveilles grandeur nature
Où l'on est plus qu'une simple soubrette
Où chanter danser et virevolter
Au doux son de la musique et des histoires passées
Donnent envie d'y rester.
Mais est mon nouveau chez moi?
Qu'une chose à faire
Allez voir si cet endroit à tout pour plaire."
La Petite Alice referme son calpin
Noue ces mocassins
Et se lève pour partir
Offrir et faire connaître ces bonbons dans Réquiem tout entier
Mais surtout savoir si elle à retrouvé son chez soit.