Petit et grand poeme

chérs réquiémoi et réquiémoise!

Se beau matin folle envie d'écrire ma prise, donc je vous livre un des mes poemes, j'attnd votre imprésion, et n'hésitez pas à exposez a votre tour vos oeuvres!!

Un soir sur un banc

En cette nuit ou la lune est absente,
Le ciel étoilé ,inonde ma pupille.
En cette nuit ou une légère brise nonchalante,
Fait courir t’est cheveux et t’est yeux s’écarquillent!

Prés de moi sur un banc,
Le nez, vers cette immense obscurité,
Parsemé de brin de lumières, étourdissant,
Nos corps et nos cœurs avec volupté.

Pas un mot, pas un son,
Ne s’extirpe de ta gorge, de tés lèvres.
Le regard fixe, plein d’admiration,
Pour cette nuit, digne du plus grand orfèvre.


Orcus_scorpus

Pas mal du tout, on dirais du Pierrot...

merci, et toi? n'a tu pas quelques vér à nous montrez?

... On dirais pas du Orcus y'a pas de fautes

L'ENNEMI

Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,
Traversé çà et là par de brillants soleils;
Le tonnerre et la pluie on fait un tel ravage,
Qu'il reste en mon jardin bien peut de fruits vermeils.

Voilà que j'ai touché l'automne des idées,
Et qu'il faut employer la pelle et le râteaux
Pour rassembler à neuf les terres inondées,
Où l'eau creuse des trous grand comme des tombeaux.

Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigeur?

-Ô douleur! ô douleur! Le temp mange la vie,
Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le coeur
Du sang que nous perdons croît et se fortifie!


Faust IX


[HRP: Charles Baudelaire : Les fleurs du mal]

Inglorion a écrit:

... On dirais pas du Orcus y'a pas de fautes

héhé...parseque cela na pas été écrit dans le feu du débat, mais travaillé!

HAAA je me disé aussi je conné!!

Faut pas tricher FAUST c'est pas bien, livre nous quelque chose qui soi fai par toi.

Inglorion a écrit:

... On dirais pas du Orcus y'a pas de fautes

T'es sûr que tu as bien lu .....
"t’est cheveux et t’est yeux" rien que ça, ça me fait sursauter ....

"Parsemé" il manque aussi un e là, étant donné que l'on parle de l'obscurité!! (enfin, ça c'est moins grave que ce qu'il y a au dessus)


Bref

Sinon, j'aime bien ce poème. J'aime bien le rythme, surtout sur la fin, où le souffle se brise sur les virgules et fait comme si on arrivait pas à formuler des phrases complètes devant ce spectacle.

Très joli.

Faust: vil plagiaire de Baudelaire!!

Et oui! il réste temp de fautes!

C'est mon talon d'achile, et en méme temp ma marque de fabrique.

Allé j'aten vos textes!! A vos crayons!!

Franchement, j'adore pierrot!!



Peine

Voilà bientôt trois ans que je souffre en silence,
Trois ans d'amies et de confidentes perdues,
Le souvenir de votre amitié n'est que diffus
Et je souffre de plus en plus de votre absence.

Maintes fois lorsque j'étais près de la démence,
De votre tendresse vous m'avez secouru,
Ma peine devenait extase continu,
La joie succédait aux pleurs en votre présence.

Même si je parviens encor à vous revoir,
Trop brefs sont ces instants d'humble félicité,
A peine ai-je pu retrouver votre amitié
Que vous me quittez déjà pour votre dortoir.

Seul et sans dessein je me morfonds sans espoir
La vie n'a plus que le goût d'un amer fraisier,
Ses cendres éparses sentent l'encens fruité,
Comment vais-je sortir de cet enfer noir?

Peut être est-ce là une juste punition,
Pour avoir été aimé durant deux années
Il faut que pendant trois ans j'en sois écarté
Pour comprendre la richesse de cette union.

Je prie pour que l'an prochain nous nous retrouvions
Pour mettre fin à cette période troublée
Qui mit, hélas, notre relation en danger
Qui vit mon doux bonheur supplicié en prison.

Bravo a tout les deux, j'aime beacoup!



Lorsqu en ma noire colère

Lorsqu en ma noire colère,
J’ai chassé dieu le père,
Assombrie le ciel azur,
Dissout le diamant pur.

Un couteau argenté,
Dans mon cœur est entrer.
Mon esprit humilier,
Sent cette lame acérée.

Sois sage , o ma douleur.
Ne trahie pas ma peine.
Je suis las de cette haine,
C’est un curieux dilemme
Mais c’est ainsi…je l’aime.


Orcus_scorpus

j'aime bien ton poeme orcus, dommage qu'il y ai trop de fautes d'accord (des -er a la place de -é)





Lorsqu'en ma noire colère,
J’ai chassé Dieu le père, (on met des majuscules normalement pour Dieu, sauf effet de style bien entendu)
Assombris le ciel azur,
Dissous le diamant pur.

Un couteau argenté,
Dans mon cœur est entré.
Mon esprit humilié,
Sent cette lame acerée.

Sois sage , ô ma douleur.
Ne trahie pas ma peine.
Je suis las de cette haine,
C’est un curieux dilemme
Mais c’est ainsi…je l’aime.

HAAAAAA


que tu corige des fautes évidente, OK, mais ne mes pas de majuscule la;ou il n'y en a pas!

Pour quoi métre une majuscule a dieu? C pa un de mes potes? Je les jamais rencontré, méme po vu a la télé! lol

Dieu fait parti du sacré un peu comme un nom propre

Pour ça que ne pas en mettre inclus un sens caché

qui peut aller ou pas avec le poème

héhé trés frai, tré jolie poeme, j'aime beaucoup!

Et dieu ne fai partie du sacrée que pour celui qui y croie!

pas besoin de croire pour respecter les croyances des autres

Certe! Mais se n'est pas parsque je n'y mais pas une majuscule que je ne réspecte pas les croyances des autres, je montre simplemen que moi, je ne le met pas sur un pied d'estale.

orcus_scorpus a écrit:

je ne le met pas sur un pied d'estale.

Si tu parlais d'un Piédestal, il risquerait de tomber

Clair (obscure)


La vallée du ciel inondé de plaisir,
Un grondement torrentiel perpétue le désir;
D’une clarté éternelle s’écoule un élixir,
toutes nos sentinelles se laissent envahir.

Tel une hanche qui ondule,
A l’approche du crépuscule.
Sur la roche nue de la méditerranée,
La houle blanche déferlaient.

Au fond d’un lac, d’une rivière,
Épiant le courage le téméraire.
Comme un jeu perpétuel!
muses tu me donne des ailes.

Parcourant les forets ou battent les boucliers,
Superbe défiant les meilleurs chevaliers.
Sortant d’une sombre caverne,
Le vent du matin souffle sur les lanternes.

J'aime bien
[[ Par contre en RP ca me fait bizarre d'entendre Méditerranée ... m'enfin c'est pas bien grave ]]

La lumière

Tous les jours à chaque moment
Elle brille tel un cygne volant
Dans un grand ciel illuminé
Par les rayons d'un soleil d'été.
Celui-ci est toujours à son zénith,
Pourtant cette lumière n'est pas un mythe :
C'est la brillance d'une fille qui vit,
C'est la brillance qui donne un sens à ma vie.

Cette lumière se touve partout sur elle,
De ses cheveux jusqu'à ses chevilles.
Et même si elle ne montre ses dents très belles,
On admire toujours son corp qui pétille.

Oh !J'adore cette lumiére;
Je t'aime beaucoup fille jolie.
Je t'aimerais jusqu'au jour où la terre
Deviendra enfin mon lit.

THANATOS

Au bord d’un gouffre dont l’odeur,
Trahit l’humide profondeur,
Au bord d’un Styx bourbeux,
Mon âme , traverse un bosquet épineux.

Me débattent comme un nageur,
Agressé par cette aigreur.
Comme dans un gigantesque remous,
Ne pouvant m’agrippé à la proue.

J’ai plus de souvenirs, que si j’avais mille ans,
Du plus triste des alchimistes.
Il n’épargne ni femmes, ni enfants.
Cet hermès inconnue qui l’assistent.

Une idée, une forme, un être,
Errant du Léthé au tartare.
Dans la nuit la plus noire.
Ou nul œil du ciel ne pénètre.

Sous le corbillard de mes rêves,
Descendant de ce ciel livide et bizarre,
Je vis cette beauté si rare.
Et elle dé posa un baisé sur mes lèvres.

Elle peut de ses chants, peupler l’air froid de mes nuits.
Elle peut emplire mon corps d’une tendre agonie.
Je me baigne dans le sang et les larmes des morts,
En cet enfer ou mon cœur se plait, encor.

J’écoute avec envie,
L’inexorable mélodie.
Retentissant à mon oreille,
Jusque dans se léthargique sommeille.

Pour me rappelé son image effacée,
Et ravivé la souffrance endormie,
Noble, gracieuse mais défiguré,
Par une affreuse ironie.
Et puis ces cloches!
Un chant de mort religieux,
Retentissant sur la roche,
d’un tombeau laborieux!

Ce chant de mort impie,
Empruntait à l’enfer par l’église,
Pour une insultante parodie!
Pour me détourné de son emprise!

Et, encore elle,
Toujours elle.
Avec son inexplicable sourire,
Elle dévasterait tout un empire!

Conduisant la ronde infernale,
Autour de mon tombeau!
Se glissant dans mon cœur sen mal,
Pour le déchiré de nouveau!

Orcus_scorpus





il est en cour de reécriture